J’ai oublié de vous parler du gaz. Après l’électricité c’est notre source d’énergie indispensable. En France, c’est simple. On ramène sa consigne et on repart avec une bouteille pleine. Après çà devient plus compliqué. Tout d’abord chaque pays (même en Europe) a ses propres standards. Donc la consigne on la ramène parce qu’on n’est pas des sagouins, mais on rachète une bouteille. Et par la même occasion un nouveau détendeur… Quand on quitte l’Europe, il faut amener sa bouteille vide dans une station de gaz et la faire remplir. Là aussi les standards étant différents par pays, il faut s’adapter. Au Cap Vert, où la station est en pleine ville, on peut vous recharger votre bouteille en utilisant un détendeur dont on a enlevé la sécurité pour le faire marcher dans les deux sens !!! A La Barbade, nous avons été obligé d’acheter une bouteille vide car ils ne pouvaient pas remplir la nôtre. Je me suis aperçu après que le détendeur espagnol marchait sur les bouteilles de la Barbade. Donc on aurait dû garder notre bouteille espagnole, mais se promener avec une collection de bouteilles de 14kg ce n’est pas très pratique.
Le top du top, c’est la Rep Dom. J’ai essayé de faire recharger la bouteille de la Barbade. Que nenni. Encore un système différent. Ici c’est à vis mais mais la femelle est sur la bouteille… Pas de problème, on m’a proposé gentiment de démonter le robinet (j’en ai acheté un neuf à la quincaillerie), avec un peu de téflon, j’ai maintenant un bouteille de La Barbade mais avec une tête de la Rep Dom… Y’a pus qu’à espéré que çà ne nous pète pas à la gueule!
J’avoue que les histoires de femmes sur la bouteille me laisse sans voix. Et aussi le fait de déboucher avec un peu de téton. ?!?!
Je ne sais pas ce que vous faites exactement, mais c’est curieux.
En tous les cas, nous serons fin juillet à Montréal et autour, et je serai super content que nous puissions discuter cordages, mât, noeuds et différentes choses encore.